Selon l’OMS la santé mentale est : “un état de bien-être permettant à chacun de reconnaître ses propres capacités de se réaliser, de surmonter les tensions normales de la vie, d’accomplir un travail productif et fructueux et de contribuer à la vie de sa communauté”.
L’origine des maladies mentales :
Le dérèglement de l’un de ces facteurs peut entraîner certains troubles psychiques et maladies mentales. On les définies par des changements qui affectent la pensée, l’humeur ou le comportement d’une personne ce qui le plongerait dans un état de détresse ou de souffrance.
Des personnes dites neuroatypiques :
Les termes « neuroatypique » ou « psychoatypiques » définis les personnes atteintes par ces troubles psychiques. Le trouble du spectre de l’autisme. Cependant, depuis plusieurs années, ce terme est devenu plus large. On englobe toute personne ayant un trouble “dys”, tel que la dyslexie, la dyspraxie etc., un haut potentiel ou toute autre différence neurologique. Le second terme, psychoatypique, est un terme général. Il englobe toutes les personnes qui présentent des perturbations au niveau du cerveau.
La santé mentale et représentation psychophobe dans nos sociétés :
Étant différents, ces personnes se retrouvent très souvent en marge de la société et souffrent de psychophobie. La psychophobie caractérise par toutes les oppressions que les personnes atteintes de troubles psychologiques ou neurotypiques subissent. Les personnes souffrant de psychophobie rencontrent des difficultés dans leur vie quotidienne. Ils ont des difficultés que ce soit dans l’obtention d’un logement, d’un travail ou l’accès aux soins. Le fonctionnement dess personnes neuroatypiques et psychoatypiques est particulier. Même si les représentations psychophobes sont parfois être discutées, elles demeurent réellement dans notre société. Ces représentations entraînent notamment des stigmatisations et des discriminations.
La société, de manière générale, à attribuer certaines étiquettes à certains comportements. Une personne qui rencontre un problème de santé mentale est généralement moins bien considérée dans la société.
La marginalisation des personnes considérées comme neuroatypique ou psychoatypique ainsi que l’importance des représentations psychophobes dans notre société posent certaines questions et ouvrent le débat. Nous pouvons notamment nous poser la question : les représentations psychophobes impactent-elles la prise en charge et les moyens mis à disposition des personnes neuroatypiques et psychoatypiques?