Les phytoplanctons sont des espèces essentielles pour le maintien de l’écosystème marin, car ils sont responsables de la production de plus de la moitié de l’oxygène sur Terre. En effet, grâce à eux, l’océan est considéré comme le principal poumon de la Terre, contrairement aux idées reçues qui mettent plutôt en avant les forêts. Cependant, leur existence est menacée par plusieurs facteurs différents, qui entraînent beaucoup de conséquences. Il est donc essentiel de trouver des solutions afin de préserver les phytoplanctons, tellement importants pour la survie d’autres espèces.
Les conséquences de la disparition des phytoplanctons
La première conséquence de la disparition de cette espèce est la diminution de l’oxygène. En effet, il faut savoir que le phytoplancton joue un rôle clef dans le cycle du carbone car, selon “nouvelobs.com” il est responsable de la production de la moitié de l’oxygène terrestre, en captant environ 100 millions de tonnes de dioxyde de carbone par jour.
En effet, il absorbe du dioxyde de carbone émis par l’Homme. Il produit donc de l’oxygène, que nous respirons par la suite. Sa disparition causerait non seulement l’extinction de son espèce (la quantité de phytoplancton décline de 1% par an, on note 10% depuis le début de l’ère industrielle selon futura science) , mais entraînerait également une énorme perte d’oxygène et perturberait alors l’équilibre des océans, ceux-ci perdant chaque année une capacité d’absorption de 190 millions de tonnes de carbone. La deuxième conséquence est la disparition de la biodiversité. En effet, cette espèce a une très grande importance dans le réseau marin car elle est en relation avec beaucoup d’autres espèces marine. En effet, elle sert de nourriture pour certaines (comme pour le thon rouge par exemple). Or, à cause de la pollution humaine et du réchauffement climatique, la composition des phytoplanctons s’est modifiée. Ils sont donc devenus moins nourrissants. La disparition d’une espèce entraîne donc un déséquilibre de l’écosystème entier en mettant en péril la chaîne alimentaire. Cette conséquence en entraîne donc une troisième : l’extinction de certaines espèces.
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