Les nouvelles formes de travail :
On comptabilise plusieurs nouvelles formes de travail. Premièrement le coworking qui concise à travailler dans un espace commun pour favoriser les interactions et donc les innovations. Mais également le télétravail qui s’est beaucoup développer avec le covid et le confinement. Il permet à l’entreprise de réduire des charges tel que les locaux, l’électricité etc. Autre exemple, le travail en freelance, avec une forte montée des travailleurs indépendants (autoentrepreneurs).
Les nouvelles formes organisationnelles du travail
Premièrement avec l’intérim, permettant aux entreprises en développement de ne pas engendrer trop de frais pour le personnel. Deuxième exemple à travers une nouvelle forme du Taylorisme. On retrouve une organisation majoritairement basée sur un travail individuel. L’atout de cette méthode est un coût faible du personnel car les tâches à faire ne nécessite pas de formation particulière. D’autres exemples peuvent être cités comme les plateformes collaboratives virtuelles etc.
Les enjeux environnementaux :
Trois grandes catégories ressortent lorsque nous parlons d’enjeux environnementaux. Un défi climatique, une nécessité de protection des ressources non renouvelables et une préservation de la biodiversité. En effet nous sommes dans une ère critique concernant l’environnement. La température moyenne du globe connaîtra une élévation comprise entre 1.7-2.4 °C d’ici 2050, il faut donc trouver des solutions efficaces. Les sols sont appauvris (agriculture intensive, assèchement des nappes phréatiques, surconsommation des énergies non renouvelables etc) et dernièrement la biodiversité, avec des espèces animales en voie d’extinction mais également la flore qui est modifiée par l’homme (exemple : les coraux dans les océans)
Les enjeux démographiques
Le premier problème vient de la surpopulation de la terre et des ressources qui ne sont pas suffisantes pour faire vivre tous les êtres vivants correctement. L’enjeu majeur du 21 ème siècle est le vieillissement de la population. Les personnes à la retraite sont considérées comme population inactive et ne cotisent plus. Cependant plus l’espérance de vie de ses personnes sont longues plus il faut payer de retraite. C’est donc un système à repenser pour ne pas avoir à augmenter les cotisation de la population active.
La révolution technologique
Au 21ème siècle on constate une forte avancée grâce à la technologie. On peut citer par exemple la hausse de la robotisation dans le domaine de la santé qui représente un progrès majeur. Mais il est également possible de citer les progrès numériques au niveau des modes de paiements et des banques. Dernière exemple d’une avancée majeur à travers l’automobile.
L’économie de la connaissance
Ici le service proposé est la connance d’une personn. Elle pause aujourd’hui encore beaucoup de problème car il est difficile de la quantitfier et de la mesurer
Les indicateurs de croissance économique
Comme la croissance économique est un phénomène quantitatif, elle peut être mesurée. L’indicateur de mesure le plus souvent utilisé est le produit intérieur brut ou PIB.
La coopération mondiale en termes de biens publics
Un bien public (ou bien collectif) est un bien ou un service qui présente deux caractéristiques : non rivalité et non exclusion. Un bien est dit non rival lorsque sa consommation par un agent n’empêche pas un autre agent de le consommer. Un bien est dit non exclusif lorsqu’on ne peut exclure aucun agent de la consommation de ce bien.
Le concept de croissance verte
La croissance verte promeut la croissance économique et le développement mais conserve les actifs naturels pour qu’ils fournissent les ressources et services environnementaux et donc de permettre de préserver notre bien-être.
Concept de décroissance :
Il peut être abordé sur pleurs points : politique, économique ou sociale
La décroissance économique c’est l’augmentation des richesses produites conduisant à l’augmentation du bien-être social.
L’économie sociale et solidaire :
On parle ici des mutuelles, fondations et de coopératives dont les activités sont fondées sur un principe de solidarité et d’utilité sociale.
L’économie circulaire :
Trois grands axes :
- Offre des acteurs économiques (économie et écologie)
- Demande et comportement des consommateurs (consommation responsable)
- Gestion des déchets (recyclage)
- L’économie de la fonctionnalité
En rapport avec l’économie verte. C’est intéressant pour les entreprises qui veulent s’inscrire dans une démarche environnementale.